L'Allemagne : un territoire inégalement intégré à la mondialisation
- Fiche de cours
- Quiz et exercices
- Vidéos et podcasts
- Connaître la puissance économique allemande et ses faiblesses.
- Connaître les politiques européennes contribuant à la cohésion territoriale.
- En 2020, l’Allemagne est la 4e puissance économique mondiale grâce à l’intégration de ses systèmes productifs dans la mondialisation et à l’ouverture de son territoire sur le monde qui font d’elle une puissance commerciale mondiale.
- L’attractivité et la compétitivité des métropoles allemandes contribuent au rayonnement économique du territoire. Ainsi, le pays est la 1re puissance économique et le 1er contributeur de l’UE. L’Allemagne œuvre en faveur de la construction européenne.
- Cependant, le territoire est fragilisé par d’importantes inégalités socio-spatiales. Si la fracture entre l’ouest et l’est tend à se réduire, les inégalités régionales et locales sont multiples.
- Malgré sa tradition redistributive, l’action seule de l’État fédéral allemand reste insuffisante pour agir efficacement en faveur de la cohésion des territoires.
- L’Union européenne constitue un acteur supranational indispensable grâce aux aides versées par le FEDER dans le cadre de la politique de cohésion économique, sociale et territoriale. La réduction de celles-ci risque de fragiliser les länder de l’ouest du pays.
L'Allemagne est une puissance économique mondiale et un moteur d'intégration de l'Union européenne dans la mondialisation. Cependant, les territoires allemands contribuent inégalement à ce rayonnement économique.
En 2020, l’Allemagne est la 4e puissance économique mondiale et la 1re puissance économique de l’UE. Elle produit 20 % du PIB de la communauté. Le PIB par habitant s’élève à 41 508 euros, il s’agit du 25e rang mondial.
Par conséquent, la dette publique du pays est en constante réduction depuis plusieurs années. En 2017, elle s’élevait à 64 % du PIB contre 59,8 % en 2019.
La concentration de systèmes productifs bien intégrés à la mondialisation explique ce rayonnement économique. En effet, l’économie du pays est majoritairement tournée vers les services : le secteur produit 62,4 % du PIB national et concentre 74,6 % de la population active. Le secteur industriel allemand représente 26,8 % du PIB, emploie 27 % de la population active.
Malgré le contexte de désindustrialisation, ce secteur est resté stable dans le pays, qui est le plus industrialisé de l’Union européenne. L’essor des hautes technologies industrielles a permis au pays de gagner en compétitivité et de promouvoir des clusters d’excellence.
L’entreprise allemande Volkswagen est la 1re firme transnationale (FTN) allemande. Elle constitue un modèle d’intégration dans la mondialisation. Premier constructeur automobile mondial, Volkswagen est la 9e FTN mondiale. Dès 1950, l’entreprise s’internationalise et implante sa première entreprise au Brésil. Désormais, elle possède des usines sur tous les continents et emploie 655 000 individus à travers le monde. On estime que les productions ont triplé depuis les années 1990.
L’agriculture ne représente que 0,6 % de la part du PIB national, le secteur emploie 1,2 % de la population active. Cependant, l’Allemagne est le 2e producteur agricole européen derrière la France.
Enfin, le modèle économique allemand repose sur deux grandes caractéristiques :
- un tissu dense de petites et moyennes entreprises familiales allemandes, le Mittelstand. Elles sont innovantes et ouvertes à l’internationalisation ;
- la décentralisation des entreprises, dont les centres de décision sont répartis sur le territoire allemand et les lieux de production répartis dans le monde entier.
Le budget européen est alimenté par les États-membres, leur contribution est liée à leur revenu national brut (RNB).
Par conséquent, l’Allemagne est le premier contributeur au budget de l’Union européenne. En 2018, le pays a versé 29,3 milliards d’euros à l‘Union européenne, soit 18 % du budget de l’UE. De plus, son poids économique est un facteur d’intégration de l’Union européenne dans la mondialisation. En effet, elle concentre 6,5 % des FTN à l’échelle mondiale et 29 % de celles à l’échelle européenne, ce qui témoigne de l’attractivité et de la compétitivité du territoire allemand.
Enfin, grâce à un marché de l’emploi dynamique et un cadre de vie agréable, elle concentre des métropoles attractives à l’échelle mondiale, comme Francfort, Munich, Hambourg ou Stuttgart.
Francfort-sur-le-Main est une métropole culturelle dynamique. Le quartier des affaires est surnommé Mainhattan de par sa skyline et son attractivité, puisqu’il constitue une place financière européenne de premier rang. Le quartier concentre notamment des sièges sociaux, la Banque centrale européenne et la Bourse de Francfort. Si Berlin reste une métropole moins développée et moins compétitive, elle accueille tout de même des millions de touristes chaque année, attirés par l’histoire de la ville, sa vie culturelle (musique électronique, culture underground) et son paysage urbain (architecture)
L’Allemagne bénéficie d’une situation géographique idéale. Les régions – les länder – de l’Ouest profitent de l’attractivité économique de la dorsale européenne.
Le pays dispose d’un vaste réseau fluvial et est également bien intégré à la façade maritime de la Northern Range, ce qui lui permet de contribuer activement aux échanges commerciaux intra-communautaires et mondiaux.
Par ailleurs, l’Allemagne est une puissance démographique européenne. Avec plus 83 millions d’habitants en 2020, elle est le pays le plus peuplé de l’Union européenne et représente 18,5 % de la population de l’Union européenne.
Enfin, les élargissements successifs de l’Union européenne depuis 2004 et le Brexit ont fait de l’Allemagne le centre géographique de l’UE. Le pays peut également être considéré comme le centre géopolitique de l’UE.
L’Allemagne est l'un des six pays fondateurs de l’Union européenne. Elle a toujours œuvré en faveur de la construction européenne, qui est perçue comme un vecteur de paix. Les relations franco-allemandes constituent un ciment de cette construction et intégration européenne. Ainsi, Konrad Adenauer, chancelier de la République fédérale d’Allemagne (RFA) entre 1949 et 1963, initie la création de la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA) aux côtés de Robert Schuman.
Entre 1982 et 1995, le Président de la République française, François Mitterrand, et le chancelier allemand, Helmut Kohl, collaborent afin de renforcer l’intégration européenne. Ils contribuent à la création de l’Eurocorps – corps de réaction rapide européen – qui témoigne de la construction d’une Union européenne politique.
Suite à la crise financière de 2008, l’Allemagne fait preuve d’une certaine intransigeance face à l’endettement de certains États de l’Union européenne. Cette prise de position a un impact direct sur le Pacte budgétaire européen entré en vigueur en 2013.
Le Pacte budgétaire européen impose des règles communes de gouvernance économique et budgétaire. Si celles-ci ne sont pas respectées par les États signataires, ces derniers feront l’objet de sanctions. L’Allemagne, premier pays contributeur de l’Union européenne, a imposé la « règle d’or » en échange de son aide financière. Les États s’engagent à avoir des budgets en équilibre ou en excédent.
Enfin, les positions adoptées par l’Allemagne en temps de crise au sein de l’Union européenne ont contribué à l’intégration de la communauté. En effet, alors que la crise migratoire de 2015 divise l’UE, l’Allemagne accueille 1,1 millions de migrants : elle est le 1er pays d’accueil de l’Union européenne.
Par ailleurs, le 18 mai 2020, Angela Merkel, chancelière allemande, et Emmanuel Macron, Président de la République française, proposent un plan de relance économique pour l’Union européenne afin de faire face à la crise économique engendrée par la crise sanitaire du Covid-19. Malgré la rigueur économique allemande, les deux États s’unissent pour renforcer la cohésion et l’intégration économique de la communauté.
L’Allemagne est un territoire ouvert sur le monde, ce qui lui a permis de s’affirmer comme puissance économique et commerciale.
À l’échelle continentale, le territoire allemand est bien connecté aux territoires européens. Les nombreux axes routiers permettent de relier l’ensemble des régions allemandes à la plupart des pays frontaliers : les Pays-Bas, la Belgique, la France, la Suisse, l’Autriche, la Pologne et le Danemark. Le pays dispose également du plus grand réseau ferroviaire européen. Long de 38 990 km, celui-ci se compose de lignes grande vitesse (LGV) qui relient les métropoles allemandes à d’autres métropoles européennes.
À l’échelle mondiale, les infrastructures de transports permettent l’ouverture du pays sur le monde. Le territoire possède 7 aéroports internationaux dont quatre ayant accueilli plus de 24 millions de passagers en 2018 : Düsseldorf, Berlin, Francfort et Munich. De plus, les côtes littorales allemandes, situées au nord du territoire et bordées par la mer Baltique et la mer du Nord, concentrent de grands ports intégrés à la façade maritime européenne, la Northern Range.
Le port d’Hambourg constitue la principale ouverture maritime du pays. 1er port allemand et 2e ville allemande la plus peuplée, elle est le 18e port à conteneurs mondial et le 3e port européen.
Ainsi, les exportations représentent 39 % du PIB du pays. L’Allemagne est le 3e exportateur et importateur mondial et la 1re puissance commerciale européenne, elle bénéficie d’une balance commerciale excédentaire. Si son principal partenaire commercial est l’Union européenne (68 % des exportations), la Chine et les États-Unis sont également d’importants partenaires commerciaux, grâce notamment, au secteur de l’automobile.
Ce statut de puissance commerciale de rang mondial permet au pays d’être intégré à la mondialisation.
Cependant, le pays se caractérise par d’importantes inégalités socio-spatiales à l’échelle nationale. Les territoires sont inégalement intégrés à la mondialisation.
Malgré son statut de puissance économique mondiale, l’Allemagne fait face à de fortes inégalités socio-spatiales à toutes les échelles. Le territoire se compose de 16 länder – 10 à l’Ouest (ex-RFA) et 6 à l’Est (ex-RDA) – inégalement intégrés aux flux mondiaux.
Les inégalités nationales s’expliquent notamment par un facteur historique. Le 3 octobre 1990, l’Allemagne est officiellement réunifiée. À l’époque, la RDA (à l'Est) enregistre un retard économique conséquent par rapport à la RFA (à l'Ouest). Depuis, les länder de l’Est rattrapent progressivement leur retard grâce aux nombreuses aides de l’État mais cela reste insuffisant pour réduire significativement les inégalités socio-spatiales.
En 2018, les länder de l’ex-RDA enregistrent une hausse du PIB de 1,6 % contre 1,4 % pour les länder de l’ex-RFA. Les aides ont favorisé l’essor de certains länder, comme la Saxe et Berlin, qui produisent un PIB similaire aux régions de l’Ouest.
Ainsi, les länder de l’Est produisent 75 % du PIB par habitant des länder de l’Ouest : à titre comparatif, en 1990, ils produisent 43 % du PIB par habitant des länder de l’ex-RDA.
Ces inégalités sont dûes au fait que les entreprises sont essentiellement installées à l’Ouest de l’Allemagne : les sièges sociaux des sociétés introduites en bourse se concentrent exclusivement à l’Ouest. Ce manque d’attractivité des territoires a des conséquences sur le niveau de vie des Allemands à l’Est : le salaire moyen est plus faible – 550 euros d’écart – et le chômage légèrement plus élevé (6,4 % à l’Est contre 4,8 % à l’Ouest).
Une étude récente de la fondation Bertelsmann a établi un classement des 40 communes les plus pauvres en Allemagne. Parmi elles, 35 sont situées en ex-RDA.
Par conséquent, de nombreux jeunes diplômés quittent l’Est afin de trouver un meilleur emploi à l’Ouest. Ils contribuent au phénomène d’exode de l’Est vers l’Ouest et à la multiplication des shrinking cities.
La ville d’Hoyerswerda est située en Allemagne de l’Est. En 1989, la ville concentre 70 000 habitants. Depuis, le manque d’attractivité du territoire a favorisé l’émigration vers l’Ouest. La population a diminué de moitié, ce qui a entraîné la destruction de nombreux bâtiments. D’après plusieurs estimations, la population tant à se réduire, la ville ne comptera plus que 20 000 habitants en 2030.
Les inégalités socio-spatiales se développent également à l’Ouest du pays. En 2019, la Rhénanie du Nord-Westphalie, Bade-Wurtemberg et la Bavière sont les trois régions les plus riches d’Allemagne en termes de PIB. Pourtant, la région de la Ruhr, aire urbaine située dans la région Rhénanie du Nord-Westphalie, est sévèrement touchée par la désindustrialisation qui menace la pérennité de la région.
La région Rhénanie du Nord-Westphalie est la région qui produit le plus de richesses. Cependant la désindustrialisation a fragilisé la région. La population s’est appauvrie et le chômage est en hausse (6,7 %) et supérieur à la moyenne des länder de l’Est. Cette situation est renforcée par l’arrêt des exploitations de charbon prévu pour 2038. Le secteur ne répond plus aux nouvelles normes environnementales et peine à se renouveler afin de répondre aux évolutions du marché. Ainsi les programmes d’aides nationaux et européens s’avèrent indispensables dans cette région.
La région de la Sarre est également moins intégrée aux flux mondiaux : elle connaît une situation économique similaire aux régions de l’Est.
Land | PIB de la région (en millions d'euros) et rang national | PIB par habitant et rang national |
Rhénanie du Nord-Westphalie | 711 419 (1er rang) | 39 678 (7e rang) |
Bavière | 632 897 (2e rang) | 48 323 (3e rang) |
Bade-Wurtemberg | 524 325 (3e rang) | 42 290 (4e rang) |
Basse-Saxe | 307 036 (4e rang) | 38 423 (8e rang) |
Hesse | 294 477 (5e rang) | 46 923 (5e rang) |
Berlin | 153 291 (6e rang) | 41 967 (6e rang) |
Rhénanie-Palatinat | 145 003 (7e rang) | 35 457 (10e rang) |
Saxe | 128 097 (8e rang) | 31 453 (12e rang) |
Hambourg | 123 270 (9e rang) | 66 878 (1er rang) |
Schleswig-Holstein | 97 762 (10e rang) | 33 712 (11e rang) |
Classement des dix régions allemandes les plus riches en 2019
Le tableau ci-dessus témoigne d’inégalités régionales, voire locales renforcées par la crise du logement : les länder les plus riches tels que la Rhénanie du Nord-Westphalie et la Basse-Saxe possèdent un PIB par habitant relativement faible par rapport à d’autres régions. Ces écarts sont révélateurs d’inégalités socio-spatiales régionales importantes : les régions du nord-est se paupérisent tandis que les régions du sud-ouest sont très riches.
Enfin, la métropolisation du territoire renforce les inégalités ce qui contribue à fragiliser, voire à marginaliser, les espaces ruraux.
La région Rhénanie du Nord-Westphalie est la région qui produit le plus de richesses. Cependant, le PIB par habitant occupe le 7e rang national tandis que la région d’Hambourg (9e PIB du pays) possède le PIB par habitant le plus élevé. La désindustrialisation a fragilisé la région. La population s’est appauvrie et le chômage est en hausse (6,7 %) et supérieur à la moyenne des länder de l’Est. Cette situation est renforcée par l’arrêt des exploitations de charbon prévu pour 2038. Ainsi les programmes d’aides nationaux et européens s’avèrent indispensables dans cette région.
L’État fédéral allemand se caractérise par une forte tradition redistributive : les recettes sont partagées entre les länder afin de compenser les déficits de certaines régions. Cependant, les aides de l’État restent insuffisantes pour réduire significativement les inégalités à toutes les échelles. L’Union européenne est un acteur supranational indispensable qui œuvre sur le territoire dans le cadre de la politique de cohésion économique, sociale et territoriale.
En 2018, l’Allemagne est le 1er contributeur et le 4e bénéficiaire du budget européen.
La Pologne, la France et l’Espagne sont les trois principaux bénéficiaires du budget de l’Union européenne.
Si le pays contribue plus qu’il ne perçoit, les aides et outils mis en place par l’UE contribuent à redynamiser le territoire allemand. Les aides sont essentiellement versées par le FEDER, dans le cadre de la politique de cohésion, par le biais du cofinancement de projets. Pour la période 2014-2020, l’Allemagne a perçu 10,8 milliards d’euros d’aides du FEDER.
Pour la période 2007-2013, la Rhénanie-du-Nord-Westphalie a bénéficié d’aides du FEDER dans le cadre d’un programme visant à créer entre 80 000 et 100 000 emplois dans la région. Le projet, qui répondait à un objectif de compétitivité, s’élevait à 2,57 milliards d’euros, le fonds structurel a cofinancé le projet à hauteur de 1,28 milliards d’euros, soit 5 % des fonds investis sur le territoire allemand.
Les länder de l’Est sont les principaux bénéficiaires des investissements européens dont les effets positifs sont indéniables sur le territoire ; Ainsi, la Saxe, land de l’est allemand, est susceptible de passer du statut de région en transition à celui de région développée grâce aux aides nationales et supranationales.
Au XXe siècle, la Saxe est une puissante région industrielle grâce à ses mines de charbon. La concurrence mondiale et les enjeux climatiques ont fragilisé le secteur. Le FEDER cofinance les projets de reconversion des anciennes usines dans des activités technologiques ou de services et la reconversion de la main d'œuvre. La Silicon Saxony constitue un exemple de reconversion réussie dans des activités de haute technologie. Dresde et ses alentours constituent le premier cluster européen et un des cinq premiers clusters mondiaux en termes de microélectronique.
Cependant, les aides perçues par l’Allemagne tendent à se réduire. Pour la période 2021-2027, il est prévu que les länder de l’ouest bénéficient d’aides restreintes : la part de cofinancement du FEDER s’élèvera désormais à 40 % du montant du projet, soit une baisse de financement de 10 %. Enfin, l’UE finance des outils qui renforcent l’intégration des régions européennes : les réseaux transeuropéens de transports. Ainsi, les länder allemands doivent être traversés par six corridors qui ont vocation de relier l’ensemble du territoire aux interfaces maritimes et aux différentes régions européennes.
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